Le climat et la couche d'ozone (Suite et fin)

Le changement climatique global subi par l’atmosphère, se traduisant notamment par le refroidissement de la stratosphère, pourrait avoir comme conséquence que l’on ne retourne jamais à l’état antérieur.

Le trou d’ozone en Antarctique et les diminutions d’ozone au printemps arctique se manifesteront encore au-delà de la moitié du 21ième siècle, avec une variabilité qui rend difficile une prédiction plus précise.

Etant donné que l’ozone atmosphérique absorbe l’ultraviolet solaire, toute diminution d’ozone (en dehors de toute autre modification de l’atmosphère) doit entraîner une augmentation de la pénétration du flux ultraviolet au niveau du sol dans une proportion à peu près équivalente. Les mesures confirment qu’il en est bien ainsi. Ces mesures sont délicates car d’autres facteurs, comme la pollution ou la nébulosité, peuvent également perturber la transmission du flux ultraviolet. Les augmentations de l’ultraviolet les plus évidentes ont été observées au voisinage des pôles.

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